Il’ y a quelques semaines, après la fin du premier confinement, j’ai décidé de rendre visite à un ami Arthur, qui venait tout juste de rentrer du Maroc, pays où il a eu la chance de passer une dizaine d’années. C’est la que j’ai fais la rencontre des babouches cuir. Je vous dis tout ici.
1- Un voyage au Maroc, en plein Paris
L’appartement d’Arthur, c’est littéralement une véritable caverne d’Alibaba. On a l’impression qu’il a déménagé tout le Maroc chez lui. Entre les mythiques tapis Beni Ouarain, la vielles porte en bois, les coussins berbères ou encore les poufs en cuir du Maroc, on se croirait dans un Riad à Marrakech.
Arthur est devenu un vrai marocain, il a été entièrement adopté par le Maroc. Et qui dit Maroc, dit thé à la menthe, et c’est donc autour d’un verre de thé bien mentholé qu’il s’est mis à me parler de ce fabuleux pays qu’est le Maroc. De la méditerranée au nord, au vaste désert du Sahara au Sud, et des plages de sables fin de l’océan atlantique ou des remparts d’Essaouira, aux plaines de l’oriental, c’est un véritable voyage que j’avais fait, sans même bouger de ma place.
Mais au détour d’une discussion, et lors d’un court moment de retour à la réalité, un petit objet a vraiment suscité mon intérêt. Il s’agissait d’une paire de souliers en cuir doré, fines et élégantes: C’était ma première rencontre avec des babouches marocaines.
2- Les babouches cuir: une vraie tendance
Après cette rencontre, je ne rêvais que d’une chose, en avoir les mêmes. Après quelques recherches sur internet, j’avais vraiment l’embarras du choix. J’avais même accès (et c’est le mieux à mon sens), à des fabricants de babouches marocains, avec un choix incroyable de couleurs et de pointures.
Mes recherches m’ont également fait découvrir que la babouche marocaine n’était plus que marocaine en fait. Aujourd’hui, les petits souliers ont séduit un très grand monde, et du coup, j’ai vu des babouches Gucci, des babouches Dior ou encore Prada, mais elles étaient hors de mon budget.
Il semblerait que les babouches marocaines soient vendues maintenant dans le monde entier, et que les maroquiniers marocains croulent sous la demande venue de tous les continents.
J’ai donc fini par opter pour une belle paire de babouches de Fès, en cuir fin, et aux lignes racées et élégantes. Je les porte tous les jours chez moi. Il n’y a pas mieux pour les pieds après une longue journée de travail.
J’espère vous avoir fait découvrir, à travers ces quelques lignes, un peu de magie du Maroc, mais si comme moi, ça vous a mis l’eau à la bouche, vous n’avez qu’à aller découvrir par vous-même ce magnifique pays, quand la COVID-19 sera derrière nous.